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Survie Midi Pyrénées

Conférence-débat : Quelle guerre mène la France au Mali ? Avec quelles conséquences ?

27 Janvier 2013 , Rédigé par survie.midipyrenees@gmail.com Publié dans #Débats, films et conférences

Jeudi 14 février à 20H30, salle Duranti,
6 rue du lieutenant colonel Pelissier, Toulouse (Métro Capitole).
 
Conférence-débat : 
Quelle guerre mène la France au Mali ?
Avec quelles conséquences ?
Avec

Bernard Dreano, président du centre d’études et d’initiatives de solidarité internationale (CEDETIM) et membre fondateur du réseau international Helsinki Citizens’ Assembly (représenté en France par l’Assemblée européenne des citoyens). Il est l’auteur de La perle et le colonel, réflexions sur les révolutions arabes, éditions Non Lieu, 2011. Il participe au conseil international du Forum social mondial (FSM) dont la prochaine rencontre à lieu à Tunis du 26 au 30 mars2013

 

Danyel Dubreuil, salarié de l’association Survie, qui depuis 1984 lutte pour un changement dans la politique de la France en Afrique, basée sur le respect de la souveraineté des peuples. Il est par ailleurs un des animateurs du réseau "Areva ne fera pas la loi au Niger".

 

 

  Quelle guerre mène la France au Mali ? Avec quelles conséquences ?

Une opération militaire ponctuelle pour stopper l’offensive des jihadistes ? Beaucoup plus ambitieuse pour les « éradiquer » du Sahara ? Partie prenante d’une nouvelle version de la « guerre globale contre le terrorisme » ?

Une opération militaire pour permettre au Mali de recouvrer son intégrité territoriale ou une participation à une guerre civile contre les minorités arabo-touarègues ?

Une opération politico-militaire pour rétablir un Etat malien défaillant ? Ou pour assurer la stabilité dans la région et protéger l’accès au ressources naturelles stratégiques (en particulier l’uranium exploité au Niger et exploitable au Nord Mali) ?

Le Mali, présenté longtemps comme un « miracle démocratique », était en crise, l’Etat en déconfiture, le pays en ruine, la corruption galopante. Une situation résultant pour une bonne part des pressions externes et « ajustements » imposés par les Occidentaux, à commencer par les Français. La question des populations sahariennes minoritaires et marginalisées, largement une conséquence de la colonisation, est restée sans solution après l’échec des accords de paix des années 90 au Nord Mali et la reprise des révoltes. La situation de ces populations s’est encore aggravée avec l’arrêt brutal des subsides versés par Kadhafi et l’arrivée de ses anciens « légionnaires » et de leurs armes.

Mais dans ce contexte, pourquoi et comment les jihadistes ont-ils pu gagner de telles capacités ?

Les exactions des jihadistes et la menace qu’ils peuvent représenter pour l’ensemble des populations du Mali expliquent pourquoi, en majorité, les Maliens soutiennent l’intervention française (et notamment la grande majorité des Maliens résident en France).

Faut-il pour autant donner carte blanche l’armée française et aux forces de la CEDEAO ? Et quel rôle joue l’Algérie (et son allié américain) ?

Il est certain, dans ce contexte, que l’opération « Serval » ne pourra pas se limiter à une guerre éclair où les blindés Sagaies et des Rafales français liquident les Toyota jihadistes comme dans un jeu vidéo.

Mais quelle seront les conséquences d’une guerre prolongée ? Dans les pays du Sahel ? Dans les pays du Maghreb ? En Europe et en particulier en France. Et que peut on faire pour soutenir les maliens et les peuples de la région, revenir à la paix ?

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Il y a 20 ans... le génocide des Tutsi au Rwanda était en préparation et la France savait

26 Janvier 2013 , Rédigé par survie.midipyrenees@gmail.com Publié dans #Actualités françafricaines, communiqués, archives.

24 janvier 2013
Il y a 20 ans...
le génocide des Tutsi au Rwanda était en préparation et la France savait

 

De 2013 à 2014, Survie rappelle un certain nombre d’événements qui ont jalonné le déclenchement du génocide des Tutsi au Rwanda en 1994 et qui mettent en lumière le rôle qu’y a joué la France.

 

24 janvier 1993.

Au JT de France2 de 20h, devant des millions de téléspectateurs, Jean Carbonare alerte l’opinion publique française sur les crimes commis au Rwanda par le pouvoir en place, soutenu par la France. Il supplie pour que la France, qui en a le pouvoir, enraye le processus d’extermination qui se met en place. Nous sommes plus d’un an avant le début du génocide de 1994.

Jean Carbonare, président de Survie, rentre à peine du Rwanda où, pour la Fédération Internationale des Droits de l’Homme, il vient de participer à une commission internationale d’enquête sur les crimes commis dans ce pays. Depuis plusieurs années, des massacres à caractère ethnique contre les Tutsi ont lieu au Rwanda, organisés par les autorités du pays : massacres dans le Mutara en octobre 1990, massacre des Bagogwe de janvier à mars 1991, massacres dans le Bugesera en mars 1992….

Le reportage de France 2 commence par des images de fosses communes, et par ces mots : « Voici la preuve de la purification ethnique et politique érigée en principe par le pouvoir du Rwanda ». Les derniers commentaires sont eux aussi sans ambiguïté : « plusieurs centaines de militaires français détachés au Rwanda assurent un semblant de calme, pendant qu’au loin, dans le secret mal gardé des montagnes, on purifie ».

Jean Carbonare répond aux questions de Bruno Masure : « Ce qui nous a beaucoup frappé au Rwanda, c’est à la fois l’ampleur, la systématisation, l’organisation même, de ces massacres. […] Il y a un mécanisme qui se met en route […] On a parlé de purification ethnique, de génocide, de crimes contre l’humanité […] nous insistons beaucoup sur ces mots ». Génocide, le mot est prononcé. Plus d’un an avant le 7 avril 1994.

Or depuis 1990, c’est la France qui soutient à bout de bras le régime rwandais. « Notre pays, qui soutient militairement et financièrement ce système, a une responsabilité. [...] Notre pays peut, s’il le veut, peser sur cette situation ».

Conscient du pouvoir de la France sur le régime rwandais, Jean Carbonare essaie de nous convaincre d’agir, parce qu’il est encore possible d’arrêter cette descente vers l’abîme. « J’insiste beaucoup : nous sommes responsables ! Vous aussi, Monsieur Masure, vous pouvez faire quelque chose, vous devez faire quelque chose…, pour que cette situation change, parce qu’on peut la changer si on veut ! […] On peut faire quelque chose, il faut qu’on fasse quelque chose… ».

 

 

Il y a 20 ans... le génocide des Tutsi au Rwanda était en préparation et la France savait

La France savait

Juste après cet appel, Jean Carbonare est reçu à l’Elysée, où il rencontre Bruno Delaye, le conseiller Afrique du Président de la République François Mitterrand. Il lui explique tout ce que cette commission d’enquête a pu voir sur la purification ethnique, les fosses communes, les témoignages reçus par la commission d’enquête de la responsabilité au cœur du pouvoir. La France est au courant des crimes commis par le régime rwandais.

Peu après, le 12 février 1993, Bruno Delaye s’envole pour le Rwanda... pour annoncer le renforcement du soutien militaire de la France à la dictature ethniste de Juvénal Habyarimana, sur la simple décision de François Mitterrand. Pour le président français, le risque de perdre la guerre face au FPR est plus important que le risque de génocide.

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Les zones d’ombres de l’intervention française au Mali

24 Janvier 2013 , Rédigé par survie.midipyrenees@gmail.com Publié dans #Actualités françafricaines, communiqués, archives.

24 janvier 2013: Dossier d’information

 

Les zones d’ombres de l’intervention
française au Mali

Conformément aux objectifs de l’association Survie, ce document se concentre sur le rôle de la France au Mali et aborde de façon moins approfondie le rôle des autres acteurs clé de la crise. Il ne s’agit pas de les dédouaner ou de faire porter à la France l’entière responsabilité de la crise au Mali.

Il s’agit de décrypter le rôle qu’a joué la France dans la genèse de cette crise et le jeu diplomatique qu’elle a mené pour une intervention militaire dont elle est aujourd’hui la principale force, à la lumière des enjeux français dans la zone.

Ce document a été élaboré collectivement par des militant-e-s de Survie qui suivent la situation au Mali depuis plusieurs mois ou plusieurs années. C’est un document qui ne prétend pas à l’exhaustivité, et qui pourra être amené à être complété, actualisé.

Sommaire :

  1. Le Mali, une « vitrine » démocratique qui a volé en éclats
  2. Participation à la guerre en Libye et posture équivoque vis-à-vis du MNLA : les autorités françaises portent une part de responsabilité dans l’éclatement de la crise au Mali
  3. L’implication de la France au Sahel est étroitement liée à la préservation de ses intérêts économiques
  4. L’intervention, préparée de longue date, permet de légitimer la présence contestée de l’armée française dans la région
  5. Les « amis » de la CEDEAO sont la ‘caution africaine’ de l’intervention
  6. L’intervention de l’armée tchadienne aux côtés de la France vise à légitimer ce régime dictatorial
  7. La France bafoue la souveraineté du Mali et contribue à la mise sous tutelle du pays
  8. La France cherche à utiliser le paravent de l’ONU au Mali
  9. La France, gendarme de l’Afrique pour l’Union européenne
  10. L’objectif de la lutte contre le terrorisme vise à créer un consensus autour de l’opération militaire française et évite toute analyse des enjeux
  11. Une intervention à l’issue incertaine pour le Mali, sa population et pour la région toute entière
    • Conflit durable, présence de troupes étrangères, atteintes aux droits de l’homme
    • Sur les prises d’otages
    • Risque d’aggravation de la situation économique et humanitaire
    • Risque de déstabilisation d’autres États et d’extension du conflit à l’ensemble de la région
  12. L’exercice d’un contrôle parlementaire vigilant, une urgence

Téléchargez le dossier :

                                                             PDF - 1.4 Mo

Contact Presse :

  • Danyel Dubreuil 01 44 61 03 25 - 06 52 21 15 61 danyel.dubreuilatsurvie.org
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A l'aide! Ou comment j'ai arrêté de vouloir aider l'Afrique!

22 Janvier 2013 , Rédigé par survie.midipyrenees@gmail.com Publié dans #Documents audios et vidéos

A l'aide! Ou comment j'ai arrêté de vouloir aider l'Afrique

 

Les 2 premiers DVD de la SCOP Vent Debout sont prêts ! Prix 12€ l'unité + frais de port

 

Après des dizaines de dates, des centaines de personnes rencontrées, des dates reportées, annulées, après des centaines d'heures de discussions et de débat après les conf, après des heures d'ateliers et bien ça sautait aux yeux pour nous et d'autres il fallait en faire des DVD. Pour l'offrir à la famille, à votre soeur ou votre frère qui part en voyage humanitaire ou bien à votre collègue qui dit souvent " Je ne suis pas raciste mais..." ou mieux pour la diffuser en public dans votre collectif, association, ONG, etc...

 

BON DE COMMANDE A télécharger


             

 

Comme beaucoup de jeunes français, Antoine a voulu aider l'Afrique pour améliorer le sort de ces millions de gens qui vivent dans la pauvreté... Mais une fois sur place, des doutes surgissent : L'aide semble maintenir insidieusement une forme de domination occidentale qui perdure depuis l'époque coloniale. Après tout, la main qui donne est toujours au dessus de celle qui reçoit !
Pourtant, l'Afrique est riche ! Elle est riche en ressources, mais aussi en humains : penseurs, politiciens, scientifiques, etc. des personnes qui souvent rêvent d'inventer un développement où tout ne viendrait pas de l'extérieur... mais alors, qu'est-ce qui empêche leurs rêves de se réaliser ?

A travers son récit, Antoine nous promène dans les arnaques de l'aide au développement et de la dette, questionne la solidarité et les relations économiques et politiques internationales qui aident à comprendre les difficultés des peuples africains à s'émanciper de la tutelle internationale et à sortir de la pauvreté.

 

http://www.vent-debout.org/


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La France intervient au Mali et réaffirme son rôle de gendarme en Afrique

16 Janvier 2013 , Rédigé par survie.midipyrenees@gmail.com Publié dans #Actualités françafricaines, communiqués, archives.

Communiqué Survie, le 14 janvier 2013

 

La France intervient au Mali et réaffirme son rôle de gendarme en Afrique

C’est finalement le 10 janvier 2013 que la France est entrée en guerre au Mali. La communication du gouvernement français, reprise sans questionnement par les principaux médias, tend aujourd’hui à légitimer par tous les moyens et tous les arguments cette nouvelle intervention militaire française sur le sol africain et son rôle de "gendarme de l’Afrique". Pour Survie, association qui dénonce depuis longtemps l’ingérence et la domination de la France envers ses anciennes colonies africaines, il est important de rappeler quelques éléments de contexte et d’analyse critique sur cette intervention française, sans minimiser l’ampleur de la crise que connait le Mali.

La menace que font peser ces groupes armés sur la population et l’intégrité du Mali est indéniable. Leurs exactions sont connues et ont provoqué la fuite de centaines de milliers de personnes. Après le calvaire vécu par les populations dans le Nord, le soulagement des Maliens en ce moment est compréhensible. Si l’intervention française semble effectivement avoir mis un coup d’arrêt à l’offensive vers le sud du pays de mouvements armés qui se revendiquent d’un islam radical, il existe cependant d’autres motifs, militaires et politiques, à l’opération Serval rendant la conduite française des opérations critiquable.  

 

Le camouflage multilatéral d’une opération française


Cette intervention ne s’inscrit pas dans le cadre des résolutions de l’ONU. Des mois de négociations ont permis de faire voter trois résolutions du Conseil de Sécurité, ouvrant la voie à une intervention internationale sous responsabilité africaine et pouvant faire usage de la force, mais officiellement sans implication directe des militaires français. En informant simplement le Conseil de Sécurité sur le fait que son intervention urgente "s’inscrit dans le cadre de la légalité internationale" eu égard aux dispositions de la Charte de l’ONU, elle a finalement pu justifier une décision bilatérale. Ce changement majeur, qui met ses « partenaires » devant le fait accompli, est complaisamment occulté afin de laisser à nouveau croire que la France met en œuvre une volonté multilatérale actée au sein de l’ONU. Il est donc nécessaire qu’elle respecte au plus vite les résolutions de l’ONU. 

Une fois de plus, la France joue le rôle de gendarme de l’Afrique, en appuyant sa stratégie sur ses relations bilatérales avec des "régimes amis" africains, sur la présence permanente de son armée dans la région et sur sa capacité de projection de forces. Ainsi, les hélicoptères utilisés pour stopper l’offensive adverse sont ceux des forces spéciales françaises de l’opération Sabre, présentes au Burkina Faso voisin (et en Mauritanie) depuis deux ans et renforcées au mois de septembre. C’est surtout le dispositif Epervier, en place au Tchad depuis 1986 alors qu’il était supposé provisoire, qui est mobilisé. À travers l’opération baptisée Serval, ce sont donc les liens que Paris entretient avec des régimes totalement infréquentables, ceux d’Idriss Déby et de Blaise Compaoré, qui se trouvent une nouvelle fois renforcés. Le rôle phare de la France est reconnu par la plupart de ses partenaires occidentaux qui lui emboitent le pas timidement dans cette intervention (Royaume-Uni, Etats-Unis, Allemagne) sans pour autant engager de troupes combattantes, tandis que d’autres restent en retrait.  

 

Une intervention directe décidée dans l’ombre


Ce scénario rentre dans la logique développée par le nouvel exécutif français, prônant l’intervention militaire comme un "préalable" à la restauration de la paix dans le pays (également en proie à une crise institutionnelle grave). Ces derniers mois, la France n’avait en rien contribué à l’émergence d’une solution collective discutée par l’ensemble des Maliens et de nature à favoriser un consensus politique, préalable à une réorganisation rapide des forces de sécurité. Aujourd’hui, la présence de soldats français jusque dans Bamako - sous couvert de protection des ressortissants - représente une pression importante sur les autorités maliennes en état de grande faiblesse.

 

L’option d’une intervention directe et rapide des forces françaises était déjà prévue, au vu de la rapidité de mise en œuvre, et ce bien avant que l’offensive ne se rapproche de Sévaré-Mopti. L’aval du Parlement n’est pas nécessaire à l’Élysée pour déclencher une opération extérieure, ce qui marque l’insuffisance de la modification constitutionnelle de juillet 2008 relative au contrôle parlementaire des opérations extérieures. De rares réactions critiques dans la classe politique soulignent cette absence de concertation. La nature préméditée de cette intervention armée aurait indiscutablement dû susciter une prise de décision parlementaire.

Dans l’immédiat, l’opération Serval a déjà basculé dans une phase offensive et semble devoir se prolonger dans la durée. Cette logique occulte délibérément les risques pour la population malienne et les Etats de la région, de même que les perspectives politiques et la période post-conflit. Le bilan accablant des récents antécédents français en Afrique montre pourtant que ces risques sont bien réels. Les interventions de 2011 en Côte d’Ivoire et en Libye ont en effet débouché sur des situations internes explosives, passées sous silence.

 

En conclusion, la crise malienne et cette nouvelle intervention militaire française en Afrique révèlent l’échec de 50 années de "coopération" avec l’Afrique : armées incapables de protéger leurs populations, chefs d’Etat médiateurs de crises eux-mêmes putschistes, accords de défense et bases militaires qui ont perpétué le rôle de gendarme de l’Afrique que la France s’est historiquement octroyé. On ne peut que constater l’incapacité des institutions africaines et multilatérales à organiser la moindre opération de sécurisation dans la région sans avoir recours au poids lourd français, qui a tout fait pour se rendre incontournable. Ces événements appellent une fois de plus à une remise en cause de l’ensemble du cadre des relations franco-africaines.

 

 

Contact presse :

Danyel Dubreuil

danyel.dubreuil@survie.org

Association Survie

107, Boulevard de Magenta

75010 Paris

Tél : 01 44 61 03 25

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FIFDH Toulouse 2013

13 Janvier 2013 , Rédigé par survie.midipyrenees@gmail.com Publié dans #Débats, films et conférences

FIFDH Toulouse 2013


6ème FESTIVAL INTERNATIONAL DU FILM

DES DROITS DE L’HOMME

Toulouse et Midi Pyrénées 18 au 28 janvier 2013

PROGRAMME DU FESTIVAL programme complet du festival

Le festival

Sept organisations de solidarité internationale (Acat, Amnesty International, Avocats sans frontières, CCFD-Terre solidaire, Médecins du Monde, Oxfam France, Secours Catholique) soutenues par de nombreux partenaires, dont Survie MP, se mobilisent pour la sixième année consécutive pour organiser le Festival International du Film des Droits de l’Homme de Toulouse et Midi-Pyrénées.

affiche.jpg


Du 18 au 28 janvier 2013, le public de l’agglomération toulousaine, d’Albi, d’Auch, de Castres, de Pamiers, de Tarbes… pourra visionner une partie de la sélection 2012 du FIFDH parisien et participer aux débats et discussions à l’issue des projections.
12 documentaires et 3 courts métrages sont proposés. A l’issue des films, une discussion-débat est organisée avec la participation de spécialistes du pays ou des sujets traités. L’organisation de ces discussions est répartie entre les associations organisatrices suivant l’expertise de chacune (connaissance du pays et/ou de la thématique). Les associations partenaires, les réalisateurs, des universitaires peuvent également être invités à participer aux débats.

http://www.ecoledesdroitsdelhomme.org/?page_id=280

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Radio Françafrique n°40: "Hommage à Thomas sankara"

11 Janvier 2013 , Rédigé par survie.midipyrenees@gmail.com Publié dans #Documents audios et vidéos

Dimanche 13 janvier de 17h à 18h et rediffusée samedi 26 janvier à 9h. Radio Campus Toulouse 94 mhz 

 

Radio Françafrique n°40: "Hommage à Thomas sankara"

 

Françafrique n°40 l’émission radio de l’association SURVIE sur la Françafrique, cette relation particulière de la France avec ses anciennes colonies:  ce mois-ci "Hommage à Thomas Sankara". Des enregistrements sonores de la "Sankara Day" à Toulouse en octobre 2011 et de l'anniversaire de la mort de Sankara au cimetière de Ouagadougou le 15 octobre 2012 accompagnées de slam et musiques burkinabées. 

Site de  Campus FM

Pour écouter l'émission en ligne: http://www.afriradio.net/auteur51.html 

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